En attendant la sortie le 30 novembre de son remake en couleur et en 3D par Takashi Miike, la (re)découverte de ce chef-d’œuvre du cinéma japonais est indispensable. Kobayashi y transcende les codes du film de samouraï par une gestion incroyable du rythme, une maîtrise parfaite de l’image et un propos bouleversant sur le conditionnement des hommes par les valeurs ancestrales.