Il l’a dit lui-même : il met un point final à sa carrière avec Le Cheval de Turin, film âprement, terriblement beau qui sort sur une quinzaine d’écrans français cette semaine, en même temps que plusieurs publications sur le cinéaste hongrois et tandis qu’une intégrale lui rendra hommage au Centre Pompidou. Célébration tardive, mais éminemment nécessaire.